Jean-Marc, depuis quelques années participe, entre autre, aux Bikers Classics qui se deroulent sur le Circuit de Spa Francorchamps.
Sa moto, un 1000 Kawa des années 1979 .
Celle-ci a subi quelques modifications notables dont je me passe d'en dévoiler les secrets.
Il tournera sans doute aussi, comme l'année dernière à Imola.
Dans ce domaine, c'est souvent ouverture du berlingo pour verifier l'état et y apporter ds améliorations. De ce fait, la moto, à peine remontée de la semaine, a besoin d'un rodage.
Le seul week end dispo avant Spa est celui du 16 -17 juin qui sera rallongé avec le 18.
Samedi apres midi, c est le départ de Lyon avec Max qui rode également sa kawa pour Spa.
4h00 après, nous arrivons à La Clusaz où nous passons notre première courte nuit ! Là encore, je ne devoilerai pas les secrets du reblochon et de " la Sapinette " !
Samedi 9h00 tapante, nous enclenchons la premiere direction le Cols des Aravis. Etant là pour roder, nous n'avons que peu de temps pour prendre des photos. Il faut bouffer du kil !
Je me positionne en derniere position, celle que je choisi toujours quand je roule en groupe, car je préfère être le wagon de queue. Je roule ainsi comme je veux !
Max nous lache à Grenoble. Nous continuons par la viroleuse route Napoléon.
Même pas faim, nous pasons outre le repas du midi. J'ai toujours ce goût du délicieux élixir de la veille dans l'estomac. C'est tenace la sapinette et l'elixir végétal de la grande chartreuse!
Le lac de Castillon
10h00 de bitume et nous arrivons l'arriere train en compote. Surtout Jean-Marc qui roule avec sa selle en bois et ses reglages d'amortissement course .
Nous passerons la nuit du coté de Nice.
Café du matin et c'est reparti pour 10h00 de chevauchée. La cote Esterelle est belle à cette période et il n'y pas trop de circulation.
Une derniere photo pour le souvenir
Nous prendrons la direction du nord en passant par Vidauban, Brignoles et la fameuse Nationale 7.
Malheureusement cette derniere a perdu de son son charme, malgré les quelques souvenirs qui me reviennent, quand nous l'empruntions avec le tonton et sa 404 turquoise dans les années 65.
Il ne reste rien des grands bonjours aux casse crouteurs du bord de route. Rien, non vraiment rien, à part de l'animosité entre les automobilistes.
Nous arrivons en debut de soirée sur Lyon, pas mecontents de retrouver nos coussins moelleux.