IRLANDE 2011

 
 

WICKLOW MOUNTAINS

 
que je conseillerai à tout le monde qui se rend du coté de Dublin.
Nous prenons la Vale of Clara passons Glendalough, ici meme les ruisseaux sont couleur Guinness. Couleur de la tourbe.


puis une petite route jusqu’à Selly Gap,


DUBLIN est là 
C’est une grande ville. Nous trouvons ici un hébergement dans un hostel.
Il s’agit en fait d’une auberge de jeunesse.

 
Les douches et les WC sont communs et ayant peu de place pour les bagages, nous n’avons ni produit douche, ni serviette.
Une housse d oreiller fera la rue Michel.

.
Nous trouverons dans toutes les villes irlandaises des pubs et commerces a devantures aux  couleurs vives mais harmonieuses

 

La légendaire usine Guinness


la fleche

C’est la capitale de l’EIRE. Elle reste néanmoins à taille humaine. Il y a un peu de circulation mais dès le soir elle devient plus calme. On s’y promène sereinement. Tient qu’Est-ce donc. Un barriérage par la police qui filtre les accès. Nous comprendrons le soir a la télé que nous mettions en bruit de fond que la Reine doit passer par là. Nous apprendrons aussi qu il se passe des choses en France en voyant le visage d’un de nos  hommes politiques. Nous saurons à notre retour.

Demain nous irons vers l'Ulster et  Belfast. Toujours par les petites routes via Newgrange. Nous irons visiter le fameux Tumulus. Nous restons sur notre faim. mais la vue est belle sur la campagne environante.

Désarroi et ininterêt sans doute causé par  des explications apparemment intéressantes mais uniquement en anglais. Il s agissait pour nous d'une petite piece sous un tas de pierre. Je préciserai que dans toute l île les gens parlent peu, voir pas, français. Nous avons rencontré deux personnes qui le parlaient. L’une etait à l’office de tourisme de Clifden l’autre un vendeur de vin haut de gamme dans l English Market de Cork. Sinon il faut jongler avec notre anglais de base. Mais c’est bien . Ainsi , ils conservent leur culture, et le dépaysement pour nous est d autant plus grand. A quoi bon aller ailleurs pour trouver la même chose que chez nous. De plus ils sont accueillants et courtois. 

Nous décidons de prendre un bout d autobeurk en République d’Irlande pour BELFAST, elle est payante , tant pis. On verra bien. Nous arrivons au péage. Pour le deux roues ce sera 90cts. Elle est limité a 120 km/h. Mais il y a tellement de vents que la vitesse maxi atteinte sera 100 km/h. J’ai l’impression de revivre ce que nous avons eu a notre départ pour l’Espagne l’année d avant. De gosses rafales violentes dans tous les sens. Les petites routes ne sont pas mieux, jonchées de feuilles et de branches cassées. Faut tenir le guidon. J’apprendrai à notre retour , via la toile, que nous avons essuyé une tempête.
La ville comporte beaucoup de bâtiments en brique. Nous parcourons la ville dans tous ses quartiers pour la connaitre ça  ne se résume pas aux grands magasins.


 

 

Mais même dans les plus pauvres nous ne voyons pas de dégradations ou de saleté spécifiques à notre cher pays. Nous ressentons une autre atmosphère mais pas de tension particulière. Devant nous s’étale soudain une fresque géante et symbolique sur l’un des murs de la ville.

Apres un bon repas
et quelques bières

 nous nous rendons à notre dortoir.

Aujourd’hui la destination est le GIANT’S CAUSEWAY. Le chemin ne sera pas direct. Antrim, Ballymena, A43, Glenariff, Cushendall, Ballycastle


et enfin la Chaussée des Géants.


Créée de toute pièce par la nature, il s agit de roches en formes de colonne hexagonales de toutes hauteur,

 

Along the Long Road and on down the-Causeway
 


 imbriquées,


sans aucun espace, les unes dans les autres formants des sortes d'amphithéâtres. On a du mal a croire que ceci n’est pas fabriqué.

BUSHMILLS je ne sais pas si ce nom vous inerpelle, moi oui.

Nous visiterons la distillerie.


L’une des plus ancienne du monde, et ses trois distillations. Pas de photos à l intérieur. Il fait chaud autour des alambic et nous sommes en veste moto. Des gouttes perlent mon front. Vivement la dégustations.

Fort marri, j’ai du me résoudre a un dé à coudre car le guidon m’attends.





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